Sherlock, adossé sur sa pile d'ouvrage traitant du paranormal et d'ufologie s'en termine ses petites fiches qu'il relie entre elles sur ces différents compagnons d'infortune:
"Agent Spécial Brackney? Brackney?
Que dire, je sens une illumination, un grain de folie mais surtout ne pas lui dire, cela lui ferait trop plaisir.
Ce serait comme avouer à Mac Allistair, que j'ai du sang martien en fait."
"En attendant qu'en penser,c'est à la fois insupportable et vachement séduisant de toujours jongler entre une envie de tout envoyer paître mais aussi de s'y plonger à perdre haleine. Cela m'insupporte de me sentir un pion, de ne pas arriver à marquer concrétement des points dans ce grand labyrinthe de la folie non pas qu'on ne soit pertinent parfois mais tout bonnement par principe des choses qui n'en font qu'à leur tête de leur côté. Le pire n'est pas ce qui nous environne ou ce que nous vivons, mais notre capacité à imaginer qui va bien plus loin dans le pire et la perte que tout ce qu'ils pourraient imaginer."
"C'est trés insécurisant mais diantrement excitant aussi!"
Un gros chat passe sur le bureau :
"Hé oui Garfield!?"
"Tu sais quoi, je vais jouer mon avenir au bureau et dans leurs plans à pile ou face, voilà! J'ai ma place à l'asile toute prête tu sais, il me suffit de dire ce que je déduis de tout ceci..."
Il sort une piéce et s'en commence à la faire tourner.
La suite le jour d'avant la prochaine fois...