Les gardiens du jeu

14 Mars 2007, tous les personnages sont conviés, bien que d'horizons diverses à l'anniversaire d'un ami commun.
Jacques Haffner, un jeune dentiste du 16eme qui fête ses 33 ans.

Au cours de la soirée des inimitiés se créent entre les personnages, certains se drogue ostensiblement devant les yeux médusés d'un des personnages gendarme.

Malgré tout, tous sont invité par Jacques à passer une semaine, dans une vielle ferme porcine à Bénouville, une paisible bourgade de Seine-Maritime.

Sur place, le vent souffle constamment en ce lieu. Les habitants s'y sont habitués, mais les gens de passage se sentent rapidement oppressés par le bruit constant des rafales venant de la mer. Les habitants ont d'ailleurs l'habitude d'accrocher des flûtes éoliennes sur leur toit ou dans leur jardin, ajoutant des mélodies étranges au bruit incessant du vent.

La ferme et le village n'a que peu d'intérêt pour ces citadins parisiens qui ne pensent qu'à se chamailler.
Une petite chapelle et un l'escalier taillé dans la falaise qui mène à la plage. (Selon les guides touristiques, l'abbé Desson-de-Saint-Aignan est à l'origine de sa construction en 1883 : il aurait fait creuser ses 283 marches comme acte de pénitence.)
Cet escalier est nommé dans la région « la Valleuse du Curé » et il s'est effondré en juillet 2001. Depuis il est interdit au publique. Le gendarme, seul, descendra jusqu'à la plage par ce chemin réchappant de peu à une chute mortelle à l'endroit écroulé. Les autres personnages opteront pour une ballade de quelques heures jusqu'à un joli phare, mais sans grand mystère.
L'ennui s'installe dans le groupe et les disputes redoublent.

Le deuxième soir, alors que le gendarme curieux se promène, toujours seul, près de la chapelle....

Il pu ton scénario !!!!


PS: pour être sérieux , je participerasi bien o débat qd j'aurais le temps ...

Pour la suite de la partie, les personnages ont réagi individuellement (enfin 3 groupes pour 5 joueurs)

-1 Joueur seul qui s'est fait capturer.
-2 qui se sont cachés et ont attendu que les choses se passes.
-2 partis chercher de l'aide (extérieur) à plus d'une heure de trajet.

Résultat les évènements (Poulpiques) se sont déroulés comme ils étaient prévus, neutraliser la population pour accomplir leurs actes ignobles et partir sans laisser de trace.

De fait, tous les joueurs, ont fait une excellente partie rôle-play mais sont, en effet, au même titre que moi, frustrés des conséquences de leurs choix. (même si ces choix étaient logiques et légitimes)

Par contre, je pense que la partie aurait, sans doute, eut une fin différente si les joueurs avaient agis ensemble et en ne perdant pas de vue que l'on incarne des héros, curieux.
J'ai sans doutes moi aussi commis des erreurs de maîtrise, j'aurais pu donner quelques indices supplémentaires pour impliquer davantage les personnages. (un petit mot perdu "Attention nous sommes un groupe de Cultistes haineux qui vient récupérer une antique relique enfouie sous votre village")

Bref partie frustrante avec un goût d'amertume mais pas nul ou bâclée.

A+++

shaman a écrit : Il pu ton scénario !!!!


PS: pour être sérieux , je participerasi bien o débat qd j'aurais le temps ...

Marie Amélie De Lafloranale n'était pas à sa place, trop loin des frasques de la ville lumière , avec des personnes plus ou moins timbrées qui jouent de la gachette près des habitations . Elle était trop près d'une certaine réalité pour desceler les quelques anormalités que seules des investigateurs plus fouinards et plus ruraux pouvaient trouver...

Ce sera avec un certain plaisir de rejouer avec toi. Pour une fois, le clan du bien a perdu une bataille, mais pas la guerre !

Je suis d'accord avec toi Pat, c'était une partie d'introduction ou effectivement vous avez subit (volontairement dans un esprit rôle-play) des événements Poulpiques.

A+

Pour t'avoir pratiqué Guy au cour de moults parties, je dirais qu'il n'y a rien eu de bien neuf sous le soleil.
On a toujours du mal à trouver de la cohésion entre joueurs, et là d'autant plus.

Y'a pas tant à s'expliquer, c'est de l'ordre du cahotage, du chaos habituel.

Une chose de sur, mon gendarme, s'il revient, ne compte pas spécialement s'amender de son côté...

En faît, les 3/4 du groupe était des fetards qui franchissent allègrement les barrières érigées par les textes de loi. Le gendarme était comme un chien dans un jeu de quilles...

En faît, c'est le gendarme qu'il faut virer (naaan, je plaisante...).